Traduction financière : nos conseils et astuces

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En développant votre société à l’international, il semble indispensable de traduire ses documents financiers. Il s’agit d’une étape cruciale qui permet de réussir votre intégration financière dans le nouveau pays que vous convoitez.

L’enjeu est donc très important et la réalisation de traduction de qualité est plus que nécessaire afin de démontrer toutes vos compétences. Cela peut vous permettre alors de faire la différence face à vos concurrents.

La traduction financière n’est pas une mince affaire. Ce domaine fait en effet appel à une terminologie précise et variée qui peut sembler compliquée malgré des tentatives de démocratisation du langage financier pour permettre à tout investisseur, peu importe sa taille et son origine, de se l’approprier. Aujourd’hui, l’économie et la finance ne sont plus une affaire de spécialistes uniquement !

Pour autant, les documents produits par les banques, les entreprises, les institutions, ne sont pas à la portée de tous. En traduction financière, les documents qui sont traduits sont des rapports d’activité, des bilans, des rapports d’audits, des textes de fusions et d’acquisitions, des textes sur le cours de la bourse… Les enjeux sont grands !

Alors si ces documents sont difficiles à comprendre pour le commun des mortels même lorsqu’ils sont rédigés dans notre langue maternelle, imaginez lorsqu’il s’agit de les traduire dans une autre langue !

La traduction financière est à soigner tout particulièrement : une erreur de traduction peut avoir des conséquences graves, voire même pénales… Si vous lisez cet article, c’est que vous êtes sûrement à la recherche de conseils pour mener à bien un projet de traduction financière. Vous êtes à la bonne adresse : voici 4 points à ne pas négliger pour faire de votre projet de traduction un jeu d’enfants.

Quels sont les éléments d’une traduction financière ?

La traduction financière va englober de nombreux secteurs en lien avec le domaine bancaire. Cela fait que de nombreux documents peuvent être considérés et traduits. En voici quelques-uns :

  • Le rapport d’activité annuel
  • Le bilan financier
  • Les divers documents fiscaux
  • Les rapports de gestion
  • Les audits

De plus, la traduction financière englobe souvent de nombreux autres domaines tels que ceux de la comptabilité et éventuellement les audits de l’entreprise dans son ensemble.

À lire aussi : Traduction financière : quelles opportunités pour votre entreprise ?

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1. Respecter la terminologie et le jargon du domaine

Il est effectivement plus que nécessaire d’utiliser une terminologie et un jargon parfaitement adapté au domaine. Cela signifie qu’il est important d’utiliser la terminologie technique du secteur financier du pays.

Ainsi, une bonne connaissance des définitions et de l’application des termes est plus que nécessaire afin de proposer des traductions pertinentes et justes.
Si vous souhaitez que votre professionnalisme soit reconnu, veillez à ce que la terminologie financière de vos documents soit respectée lors de leur traduction.

Cette terminologie est si particulière qu’elle dépend même souvent de la législation locale. En traduction financière, on ne peut pas s’affranchir des codes et de règles qui existent. Et nombreux sont les pièges !

Confier votre projet de traduction à un collègue ou un proche qui maîtrise très bien la langue source de votre document et la langue cible dans laquelle vous souhaitez le faire traduire est, en fait, une perte de temps et une perte d’argent assurées. Il faudra tout recommencer si la qualité de la traduction n’est pas au rendez-vous. Et les dégâts peuvent, dans certains cas, aller plus loin !

La traduction financière n’est pas la simple transposition d’un message dans une autre langue : il faut de solides connaissances du domaine et de son fonctionnement.

Par exemple, de nombreux termes anglais sont utilisés et volontairement non traduits dans d’autres langues. C’est le cas en français de « back-office ». Un traducteur non professionnel et non spécialisé en traduction financière peut facilement tomber dans le piège et le traduire quand même. Les faux-sens et contresens sont alors monnaie courante !

2. Traduire correctement les chiffres

Si votre société est en France, vous aurez alors des documents avec des chiffres fournis en euros. Toutefois, si votre société souhaite s’implanter en Angleterre, il faudra alors proposer la traduction en livres et non pas en euros.

Cela paraitra beaucoup plus pertinent pour la personne qui lira votre document.
Pas besoin de parler la même langue pour comprendre combien font 2+2. Et pourtant, les normes d’écriture des nombres, dates et monnaies varient d’une langue à une autre, d’un pays à un autre. Il faut donc être vigilant sur les éléments suivants :

  • Écriture des chiffres : la séparation des milliers diffère selon les pays. On écrira 1 000 avec un espace en Allemagne, quand en Italie on utilisera le point (1.000) ou la virgule au Royaume-Unis (1,000). De quoi créer de fortes variations de vos résultats en cas d’erreur…
  • Format de la date : aux Etats-Unis, la date s’écrit sous le format mois/jour/année, mais nombreux sont les pays à utiliser le format jour/mois/année. Il faut donc bien penser à changer l’ordre ! Imaginez les erreurs qui peuvent en découler…
  • Écriture des décimales : utilise-t-on la virgule comme en français ou le point comme en anglais ? Ne pas respecter ces codes peut prêter à confusion ! De quel nombre s’agit-il vraiment ?
  • Place de l’unité monétaire : avant le chiffre comme pour les Américains ($99) ou après, comme en France (99€) ?
Traduction financière : les erreurs à ne pas commettre
Source : freepik.com

3. La ponctuation peut évoluer en fonction des pays

Il n’est en effet pas rare de ne pas avoir la même utilisation de la ponctuation d’un pays à un autre. Pour écrire les sommes par exemple, les anglais n’ont pas la même façon de rédiger que les français.
Cela peut parfois grandement perturber une personne d’un autre pays. Ainsi, il est vivement conseillé de bien traduire tant le fond que la forme pour que tout soit simplifier pour le lecteur.
L’analyse de vos chiffres et résultats sera alors beaucoup plus simple.

4. Assurez-vous de la confidentialité et de la sécurité de vos données

Les documents financiers ne sont pas des documents à glisser dans les mains de n’importe qui.
Pour cette même raison, vous pouvez préférer les communiquer à quelqu’un de votre entourage, en qui vous avez réellement confiance, plutôt qu’à un professionnel que vous ne connaissez même pas. C’est tout à fait compréhensible ! Et pourtant…

Nous avons vu que le respect de la terminologie est essentiel, et seul un vrai professionnel de la traduction financière sait déjouer tous les pièges de ce vrai casse- tête.

Les entreprises de traduction peuvent avoir recours à des systèmes de cryptage de vos communications afin que vous puissiez leur transmettre vos documents en toute confiance. Veillez à ce que des garanties soient prises pour la sécurité de vos données ! Cela évitera toute possibilité de piratage…

À lire aussi : 3 points à ne pas négliger pour les traductions juridiques

5. Confiez la traduction de vos documents financiers à des traducteurs spécialisés

Pour mener à bien vos projets de traduction financière, veillez à faire appel aux services d’un traducteur professionnel et spécialisé en traduction financière.

Les spécificités de ce domaine rendent la tâche plus ardue, et comme il y a moins de traducteurs spécialisés en traduction financière, ne vous étonnez pas si la facture est plus élevée que pour un projet de traduction générale !

Mais, nous ne pouvons que vous recommander de vous entourer de professionnels compétents : les enjeux sont bien trop grands pour ruiner tous vos efforts précédents par une traduction de mauvaise qualité !

Choisir un traducteur spécialisé dans ce domaine

Comme la traduction financière est un domaine particulier et technique, il est important de bien choisir son traducteur. Idéalement, le traducteur possède déjà une excellente expérience du domaine.
S’il a pu travailler dans l’univers bancaire dans son passé, cela est alors idéal. Ainsi, cela vous permettra d’avoir des traductions justes et conformes aux attentes des analystes financiers du pays que vous convoitez.

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Choisir un traducteur natif

Le traducteur natif possède de nombreux avantages, tout d’abord, comme il s’agit de sa langue maternelle, il possède des connaissances plus précises sur la terminologie technique du domaine de la banque.

De plus, ses connaissances linguistiques peuvent être couplées avec son savoir sur le domaine bancaire, ainsi vous pouvez avoir la quasi-certitude que vos documents seront justes et conformes tant sur le fond que sur la forme.

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Traduction financière : les erreurs à ne pas commettre
Source : freepik.com

Faire relire par un tiers votre traduction

La relecture par un tiers va permettre pour tous les types de documents traduits de réaliser une relecture avant l’envoi. Cela permet de corriger d’éventuelles erreurs que le traducteur professionnel aurait pu réaliser.

La traduction dans le domaine financier est un exercice complexe. Il est important de bien connaître le domaine pour se lancer dans ce genre de rédaction.
Aussi, choisir un traducteur professionnel de qualité vous permettra d’avoir un travail rendu dans les temps et de meilleure qualité.

Comme la traduction des documents financiers est importante pour conquérir un nouveau marché, cela vous permettra de partir sur le bon pied.
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