1. Mettez un point d’honneur à ce que la terminologie financière soit respectée
Si vous souhaitez que votre professionnalisme soit reconnu, veillez à ce que la terminologie financière de vos documents soit respectée lors de leur traduction.
Cette terminologie est si particulière qu’elle dépend même souvent de la législation locale. En traduction financière, on ne peut pas s’affranchir des codes et de règles qui existent. Et nombreux sont les pièges !
Attention : Confier votre projet de traduction à un collègue ou un proche qui maîtrise très bien la langue source de votre document et la langue cible dans laquelle vous souhaitez le faire traduire est, en fait, une perte de temps et une perte d’argent assurées. Il faudra tout recommencer si la qualité de la traduction n’est pas au rendez-vous. Et les dégâts peuvent, dans certains cas, aller plus loin !
La traduction financière n’est pas la simple transposition d’un message dans une autre langue : il faut de solides connaissances du domaine et de son fonctionnement.
Par exemple, de nombreux termes anglais sont utilisés et volontairement non traduits dans d’autres langues. C’est le cas en français de « back-office ». Un traducteur non professionnel et non spécialisé en traduction financière peut facilement tomber dans le piège et le traduire quand même. Les faux-sens et contresens sont alors monnaie courante !
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2. N’oubliez pas que les chiffres se traduisent, eux-aussi !
Pas besoin de parler la même langue pour comprendre combien font 2+2. Et pourtant, les normes d’écriture des nombres, dates et monnaies varient d’une langue à une autre, d’un pays à un autre. Il faut donc être vigilant sur les éléments suivants :
- Écriture des chiffres : la séparation des milliers diffère selon les pays. On écrira 1 000 avec un espace en Allemagne, quand en Italie on utilisera le point (1.000) ou la virgule au Royaume-Unis (1,000). De quoi créer de fortes variations de vos résultats en cas d’erreur…
- Format de la date : aux Etats-Unis, la date s’écrit sous le format mois/jour/année, mais nombreux sont les pays à utiliser le format jour/mois/année. Il faut donc bien penser à changer l’ordre ! Imaginez les erreurs qui peuvent en découler…
- Écriture des décimales : utilise-t-on la virgule comme en français ou le point comme en anglais ? Ne pas respecter ces codes peut prêter à confusion ! De quel nombre s’agit-il vraiment ?
- Place de l’unité monétaire : avant le chiffre comme pour les Américains ($99) ou après, comme en France (99€) ?
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3. Assurez-vous de la confidentialité et de la sécurité de vos données
Les documents financiers ne sont pas des documents à glisser dans les mains de n’importe qui.
Pour cette même raison, vous pouvez préférer les communiquer à quelqu’un de votre entourage, en qui vous avez réellement confiance, plutôt qu’à un professionnel que vous ne connaissez même pas. C’est tout à fait compréhensible ! Et pourtant…
Nous avons vu que le respect de la terminologie est essentiel, et seul un vrai professionnel de la traduction financière sait déjouer tous les pièges de ce vrai casse- tête.
Les entreprises de traduction peuvent avoir recours à des systèmes de cryptage de vos communications afin que vous puissiez leur transmettre vos documents en toute confiance. Veillez à ce que des garanties soient prises pour la sécurité de vos données ! Cela évitera toute possibilité de piratage…
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4. Veillez à fournir tout document pouvant faciliter la traduction
Si vous avez déjà réalisé des traductions de vos documents, n’hésitez pas à communiquer à votre traducteur tout ce qui peut lui faciliter la tâche.
Envoyer le fichier source est aussi un grand gain de temps : votre traducteur n’aura pas à utiliser un logiciel de reconnaissance de texte, et pourra avoir recours à un logiciel de Traduction Assistée par Ordinateur. Un glossaire est une vraie mine d’or dans le cas de la traduction financière.
Retenez que si votre traducteur passe moins de temps sur votre projet de traduction, votre facture n’en sera que plus légère !
Il est aussi très important d’assurer une cohérence au sein de vos documents : les mêmes termes doivent être traduits de la même façon d’un document à l’autre dans le souci de confirmer votre professionnalisme.
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Pourquoi externaliser vos traductions financières ?
Pour mener à bien vos projets de traduction financière, veillez à faire appel aux services d’un traducteur professionnel et spécialisé en traduction financière.
Les spécificités de ce domaine rendent la tâche plus ardue, et comme il y a moins de traducteurs spécialisés en traduction financière, ne vous étonnez pas si la facture est plus élevée que pour un projet de traduction générale ! Mais, nous ne pouvons que vous recommander de vous entourer de professionnels compétents : les enjeux sont bien trop grands pour ruiner tous vos efforts précédents par une traduction de mauvaise qualité !
Chez Traduc.com, nous comptons sur un solide réseau de traducteurs professionnels, spécialisés et forts de plusieurs années d’expérience qui traduisent vers leur langue maternelle. Nous pouvons vous assurer une qualité de traduction qui vous permettra de diffuser vos documents en toute confiance. Un projet, des questions ? Nous sommes à votre écoute !